Album :
Davia.. Sultana Corsa أســمـاء.. سـلــطــانة كــورســيــكـا
Opéra pour Marionnette à Fil أوبــرا الــدمـى الـمـتـحـركــة بـالــخـيــوط
♪
Artists :
Henri Agnel, Jérôme Casalonga Et Amina Alaoui
هــنــري أنــخــل، جــيــروم كــازلونــكــا و أمــيــنـة الــعـلــوي
•» Amina Alaoui, mise en poésie dialectale marocaine, voix (Davia, Asmae) •» Henri Agnel, musique, cetera, oud, rebec, orpharion, esrag •» Jérôme Casalonga, musqiue & clarinettes •» Toni Casalonga, direction artistique, cialamella & pirula •» Francine Massiani, Marta •» Abderrahim Abdelmoumen, le Sultan •» François-Philippe Barbolosi, Gustinu & violon •» Laurent Barbolosi, Ziu Stè & violon •» Nicole Casalonga, Mammò •» Idriss Agnel, zarb, oudou & batterie
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Index :
https://www.facebook.com/idriss.agnel
https://www.facebook.com/henri.agnel
https://www.facebook.com/profile.php?id=558062566
http://en.wikipedia.org/wiki/Zajal
http://en.wikipedia.org/wiki/Amina_Alaoui
http://www.zamballarana.com/
http://ciehenriagnel.com/
♪
Note :
Au XVIIIème siècle, Jacques-Marie et Marie Franceschini quittent leur village de Corbara, dans l'île de Corse, pour l'Afrique du Nord. À la suite de circonstances peu connues, leur fille Marta, née à Tunis en 1756, convertie à l'Islam, sous le nom de Davia épouse le Roi du Maroc Sidi Mohamed ben Abdallah. Aussi belle qu'intelligente, au dire de témoignages de son époque, elle est considérée comme une femme lettrée. Sur ces bases historiques, les enfants de sa région d'origine ont bâti un récit en partie légendaire dont le texte est tiré et présenté sous la forme d'un opéra joué par des marionnettes à fil, comme pour ceux de Mozart à Salzbourg ou à Prague. Chanté en arabe, en corse et en français, selon les personnages et les circonstances, le texte sera sur titré dans sa totalité. La partition, basée sur une réinterprétation des différentes pratiques vocales et instrumentales, fera l'objet d'un enregistrement préalable par des chanteurs et musiciens.
ACTE I
Scène 1: Marta, une adolescente de 13 ans, son père (Babbu) la quarantaine burinée, son frère Gustinu, un garçon de 10 ans, sa grand-mère (Mammò) et son oncle (Ziu Stè). Une maison simple, sombre et sommairement meublée. La famille est réunie autour de la table, silencieuse. Le jeune frère a faim et se plaint de la pauvreté de la famille, et du maigre et sempiternel repas de polenta. Le père annonce alors qu’ils vont partir ailleurs chercher un sort meilleur. La grand-mère restera seule.Scène 2: Mammò, seule en scène, à cette idée se lamente; il ne lui reste plus qu’à mourir, abandonnée dans son grand âge.Scène 3: Marta, seule, se promène sur la plage. Apparaît une vieille femme : Asma, craintive et grelottant de froid. Marta cherche à la consoler. Elle lui demande comment elle est arrivée là. Asma lui raconte son histoire. Marta, émue, lui propose de rester avec la grand-mère, dans sa maison. Asma la remercie en lui offrant un bijou.
ACTE II
Scène 1: Au cours du voyage vers Marseille une effroyable tempête emporte le frêle navire en haute mer; après plusieurs jours, c’est le naufrage.Scène 2: Tous se retrouvent sains et sauf (sauf Ziu Stefanu qui a disparu). Des soldats maures les entourent et les font prisonniers, l’un d’entre-eux parle français et fait tant bien que mal les traductions. Ils se lamentent sur leur triste sort, et s’interrogent sur celui de Ziu Stè.Scène 3: Entrent d’autres soldats avec un prisonnier, Ziu Stefanu, qui veut leur expliquer les principes du droit, mais en vain : ce sont des soldats et ils ne connaissent que la discipline.Scène 4: Une foule de femmes et quelques hommes. Dans les rue de la ville, ils regardent passer le convoi des prisonniers, les entourent, les arrêtent. Une femme remarque le bijou qu’elle porte : c’est un talisman ! L’a-t-elle volé ? Pour en avoir le coeur net, les soldats décident de l’amener chez le Sultan.Scène 5: Le Sultan, Marta, les prisonniers, les soldats. Dans la salle d’audience du palais, où pénètrent quelques rayons de soleil mais où l’on sent une fraîcheur agréable, le Sultan n’interpelle que la jeune fille . C’est un bel homme au visage mince, sobrement vêtu, d’environ 35 ans. Le Sultan l’interroge. Marta explique comment ce bijou lui a été donné. Quand elle prononce le nom d’Asma, le Sultan comprend qu’il s’agit de sa soeur, disparue. En signe de reconnaissance, il propose à Marta, (qu’il nomme alors Davia, lumineuse) d’accueillir sa famille au Palais.Scène 6: Le Sultan reçoit Ziu Stè. Celui-ci, fort au courant de la philosophie des Lumières, entame une discussion avec le Sultan Sidi Mohammed ben Abdallah qui lui montre l’ouverture de sa pensée.
ACTE III
Scène 1: Dans le patio du hammam. Les femmes du harem bavardent toutes en même temps, évoquent le Sultan. Il a changé, il est sûrement amoureux, mais de qui ? On entend au loin la voix de Davia qui chante. C’est sûrement d’elle qu’il s’agit.Scène 2: Dans un salon du palais, Davia qui est devenue une splendide jeune fille, richement habillée à l’orientale, parle avec son père qui a, lui aussi opté pour la tenue d’un marchand marocain prospère. Il a la nostalgie de son pays ; il veut rentrer en famille à Curbara, et demande à sa fille d’obtenir du Sultan son autorisation. Elle ne manifeste pas beaucoup d’enthousiasme.Scène 3: Dans une vaste salle du palais, Davia entre, et s’incline. Après avoir transmis respectueusement le souhait de son père, Davia manifeste ses sentiments : elle préfère rester. Le Sultan, ému, lui révèle alors son amour. Marta/Davia, en bonne fille d’alors, lui dit qu’elle ne peut lui répondre qu’avec l’autorisation de son père. Le Sultan, un moment interloqué, comprend et accepte.Scène 4: Dans la salle du trône. Le Sultan est assis, le père de Davia entre. Le sultan l’invite à s’asseoir. Un peu embarrassé mais bien décidé, le Sultan dit au père qu’il veut épouser Davia, et il lui accorde l’autorisation de rentrer chez lui…sans elle.
ACTE IV
Le père rejoint Ziu Stè et Gustinu dans les jardins du palais. Les trois corses chantent in paghjella leur joie de rentrer chez eux. Cérémonie de mariage : devant les époux, c’est la grande fête des cultures partagées, où les chants, les musiques et les danses, alternent, du marocain au corse, et se mêlent.
♪
Language : French - Arabic - Corsican
♪
Country : France - Morocco
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Melodies :
[.01.] Principiu • [.02.] Act I - Scene 1 - Chjama e rispondi di a fame • [.03.] Act I - Scene 2 - Lamentu di l'esiliu • [.04.] Act I - Scene 3 - U destinu di Marta • [.05.] Act II - Scene 1 - Timpesta • [.06.] Act II - Scene 2 et 3 - Suldati e pigiuneri • [.07.] Act II - Scene 4 - A voce di u populu • [.08.] Act II - Scene 5 - U talismanu • [.09.] Act II - Scene 6 - U sultanu e u filosofu • [.10.] Act III - Scene 1 - Parole di donne • [.11.] Act III - Scene 2 - Babbu e figliola • [.12.] Act III - Scene 3 - Cantu di l'amore chi nasce • [.13.] Act III - Scene 4 - A dumanda • [.14.] Act IV - Scene 1 - Paghjella famigliale - Duettu d'amore • [.15.] Serenatu a i sposi
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║♪♪║♥ ♪ Download From Here. [170 Mo] ♪
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Artists :
Henri Agnel, Jérôme Casalonga Et Amina Alaoui
هــنــري أنــخــل، جــيــروم كــازلونــكــا و أمــيــنـة الــعـلــوي
•» Amina Alaoui, mise en poésie dialectale marocaine, voix (Davia, Asmae) •» Henri Agnel, musique, cetera, oud, rebec, orpharion, esrag •» Jérôme Casalonga, musqiue & clarinettes •» Toni Casalonga, direction artistique, cialamella & pirula •» Francine Massiani, Marta •» Abderrahim Abdelmoumen, le Sultan •» François-Philippe Barbolosi, Gustinu & violon •» Laurent Barbolosi, Ziu Stè & violon •» Nicole Casalonga, Mammò •» Idriss Agnel, zarb, oudou & batterie
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Index :
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https://www.facebook.com/profile.php?id=558062566
http://en.wikipedia.org/wiki/Zajal
http://en.wikipedia.org/wiki/Amina_Alaoui
http://www.zamballarana.com/
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Note :
Au XVIIIème siècle, Jacques-Marie et Marie Franceschini quittent leur village de Corbara, dans l'île de Corse, pour l'Afrique du Nord. À la suite de circonstances peu connues, leur fille Marta, née à Tunis en 1756, convertie à l'Islam, sous le nom de Davia épouse le Roi du Maroc Sidi Mohamed ben Abdallah. Aussi belle qu'intelligente, au dire de témoignages de son époque, elle est considérée comme une femme lettrée. Sur ces bases historiques, les enfants de sa région d'origine ont bâti un récit en partie légendaire dont le texte est tiré et présenté sous la forme d'un opéra joué par des marionnettes à fil, comme pour ceux de Mozart à Salzbourg ou à Prague. Chanté en arabe, en corse et en français, selon les personnages et les circonstances, le texte sera sur titré dans sa totalité. La partition, basée sur une réinterprétation des différentes pratiques vocales et instrumentales, fera l'objet d'un enregistrement préalable par des chanteurs et musiciens.
ACTE I
Scène 1: Marta, une adolescente de 13 ans, son père (Babbu) la quarantaine burinée, son frère Gustinu, un garçon de 10 ans, sa grand-mère (Mammò) et son oncle (Ziu Stè). Une maison simple, sombre et sommairement meublée. La famille est réunie autour de la table, silencieuse. Le jeune frère a faim et se plaint de la pauvreté de la famille, et du maigre et sempiternel repas de polenta. Le père annonce alors qu’ils vont partir ailleurs chercher un sort meilleur. La grand-mère restera seule.Scène 2: Mammò, seule en scène, à cette idée se lamente; il ne lui reste plus qu’à mourir, abandonnée dans son grand âge.Scène 3: Marta, seule, se promène sur la plage. Apparaît une vieille femme : Asma, craintive et grelottant de froid. Marta cherche à la consoler. Elle lui demande comment elle est arrivée là. Asma lui raconte son histoire. Marta, émue, lui propose de rester avec la grand-mère, dans sa maison. Asma la remercie en lui offrant un bijou.
ACTE II
Scène 1: Au cours du voyage vers Marseille une effroyable tempête emporte le frêle navire en haute mer; après plusieurs jours, c’est le naufrage.Scène 2: Tous se retrouvent sains et sauf (sauf Ziu Stefanu qui a disparu). Des soldats maures les entourent et les font prisonniers, l’un d’entre-eux parle français et fait tant bien que mal les traductions. Ils se lamentent sur leur triste sort, et s’interrogent sur celui de Ziu Stè.Scène 3: Entrent d’autres soldats avec un prisonnier, Ziu Stefanu, qui veut leur expliquer les principes du droit, mais en vain : ce sont des soldats et ils ne connaissent que la discipline.Scène 4: Une foule de femmes et quelques hommes. Dans les rue de la ville, ils regardent passer le convoi des prisonniers, les entourent, les arrêtent. Une femme remarque le bijou qu’elle porte : c’est un talisman ! L’a-t-elle volé ? Pour en avoir le coeur net, les soldats décident de l’amener chez le Sultan.Scène 5: Le Sultan, Marta, les prisonniers, les soldats. Dans la salle d’audience du palais, où pénètrent quelques rayons de soleil mais où l’on sent une fraîcheur agréable, le Sultan n’interpelle que la jeune fille . C’est un bel homme au visage mince, sobrement vêtu, d’environ 35 ans. Le Sultan l’interroge. Marta explique comment ce bijou lui a été donné. Quand elle prononce le nom d’Asma, le Sultan comprend qu’il s’agit de sa soeur, disparue. En signe de reconnaissance, il propose à Marta, (qu’il nomme alors Davia, lumineuse) d’accueillir sa famille au Palais.Scène 6: Le Sultan reçoit Ziu Stè. Celui-ci, fort au courant de la philosophie des Lumières, entame une discussion avec le Sultan Sidi Mohammed ben Abdallah qui lui montre l’ouverture de sa pensée.
ACTE III
Scène 1: Dans le patio du hammam. Les femmes du harem bavardent toutes en même temps, évoquent le Sultan. Il a changé, il est sûrement amoureux, mais de qui ? On entend au loin la voix de Davia qui chante. C’est sûrement d’elle qu’il s’agit.Scène 2: Dans un salon du palais, Davia qui est devenue une splendide jeune fille, richement habillée à l’orientale, parle avec son père qui a, lui aussi opté pour la tenue d’un marchand marocain prospère. Il a la nostalgie de son pays ; il veut rentrer en famille à Curbara, et demande à sa fille d’obtenir du Sultan son autorisation. Elle ne manifeste pas beaucoup d’enthousiasme.Scène 3: Dans une vaste salle du palais, Davia entre, et s’incline. Après avoir transmis respectueusement le souhait de son père, Davia manifeste ses sentiments : elle préfère rester. Le Sultan, ému, lui révèle alors son amour. Marta/Davia, en bonne fille d’alors, lui dit qu’elle ne peut lui répondre qu’avec l’autorisation de son père. Le Sultan, un moment interloqué, comprend et accepte.Scène 4: Dans la salle du trône. Le Sultan est assis, le père de Davia entre. Le sultan l’invite à s’asseoir. Un peu embarrassé mais bien décidé, le Sultan dit au père qu’il veut épouser Davia, et il lui accorde l’autorisation de rentrer chez lui…sans elle.
ACTE IV
Le père rejoint Ziu Stè et Gustinu dans les jardins du palais. Les trois corses chantent in paghjella leur joie de rentrer chez eux. Cérémonie de mariage : devant les époux, c’est la grande fête des cultures partagées, où les chants, les musiques et les danses, alternent, du marocain au corse, et se mêlent.
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Language : French - Arabic - Corsican
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Country : France - Morocco
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Melodies :
[.01.] Principiu • [.02.] Act I - Scene 1 - Chjama e rispondi di a fame • [.03.] Act I - Scene 2 - Lamentu di l'esiliu • [.04.] Act I - Scene 3 - U destinu di Marta • [.05.] Act II - Scene 1 - Timpesta • [.06.] Act II - Scene 2 et 3 - Suldati e pigiuneri • [.07.] Act II - Scene 4 - A voce di u populu • [.08.] Act II - Scene 5 - U talismanu • [.09.] Act II - Scene 6 - U sultanu e u filosofu • [.10.] Act III - Scene 1 - Parole di donne • [.11.] Act III - Scene 2 - Babbu e figliola • [.12.] Act III - Scene 3 - Cantu di l'amore chi nasce • [.13.] Act III - Scene 4 - A dumanda • [.14.] Act IV - Scene 1 - Paghjella famigliale - Duettu d'amore • [.15.] Serenatu a i sposi
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